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cinéma

Tokyo fiancée

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Amélie débarque au Japon, pays où elle est née, dans l'espoir de se reconnecter avec une culture qu'elle a toujours perçue comme sienne. Elle rencontre Rinri, à qui elle dispense des cours de langue française. Elle est amoureuse du Japon, lui de la France. Entre eux, une romance inattendue ne tarde pas à prendre forme...

Adapté du Ni d'Eve, ni d'Adam d'Amélie Nothomb, Tokyo fiancée en adopte le ton plus léger et plus vivant. Dans les pas de Pauline Etienne, parfaite en candide curieuse, la caméra de Stéphane Liberski épouse le ton d'une découverte enchantée du pays du soleil levant. Vignettes et courtes scènes s'enchaînent pour dessiner un album qui sait habilement se dépouiller des balises habituelles de la romance et de ses dérivés au profit d'un parcours émerveillé dans un Japon entre fantasme et réalité. Loin des crispations de Stupeurs et tremblements (adapté au grand écran par Alain Corneau), le film de Stéphane Liberski transpire d'une liberté inattendue et d'une fraîcheur bienvenue.

Publié le 05/03/2015 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma