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théâtre

L'espèce Humaine ou l'inimaginable

L'espèce Humaine ou l'inimaginable (2023)
À l’origine de ce spectacle, il y a L’Espèce humaine de Robert Antelme. Il y a le besoin de chanter l’épopée d’un revenant, le retour, le regard, l’effroi des vivants face à cet Orphée mourant, et les gestes qui ont rendu possible l’expression d’une pensée fondamentale : l’appartenance de tous les êtres humains à une espèce commune, indivisible.

Comment raconter le mythe du retour et le chant du revenant sans présenter l’enfer ?

Le chercher dans la fiction, le dire par métaphore ? Mathieu Coblentz opte pour la description fidèle et pointilleuse de l’assassinat de masse, méthodique, raisonné, industrialisé. L’Enfer de Treblinka de Vassili Grossman pose l’horreur du XXème siècle en fond historique du destin particulier de Robert.

Sur cette toile saisissante se détachent le récit de Dionys Mascolo, qui relate l’extraordinaire évasion de son ami dans Autour d’un effort de mémoire ; et celui de Marguerite Duras, qui dans La Douleur, raconte l’attente puis les soins prodigués à son mari ravi à la mort.


DISTRIBUTION

Librement inspiré de La Douleur de Marguerite Duras, Autour d’un effort de mémoire de Dionys Mascolo et L’Enfer de Treblinka de Vassili Grossman | mise en scène et scénographie Mathieu Coblentz | avec Mathieu Alexandre, Florent Chapellière, Vianney Ledieu, Camille Voitellier, Jo Zeugma | Dramaturgie Marion Canelas | Collaboration artistique et scénographie Vincent Lefèvre | Création lumière Victor Arancio | Création sonore Simon Denis |

Publié le 18/01/2023


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