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Girls Girls Girls !

Girls Girls Girls ! (2023)
Opaline Basset, Cassandra Bizoley, Alicia Brouilliard, DAST club, Louise Delarue, Mami, Alicia Laurent, Nara Suel et Charlotte Thiry, étudiantes en art ou fraichement diplômées, à la galerie SAGA pour leur première exposition. Vernissage sam. 25 mars 16h – 19h. Photographie Illustration Gravure Peinture Sculpture Installation

Avec cette exposition, la galerie SAGA s'engage au service de jeunes artistes encore étudiantes ou fraichement diplômées.

Ainsi, du 25 mars au 15 avril 2023, les travaux de ces 9 artistes seront exposés. Vous pourrez les rencontrer et les encourager les 25 mars et 1er avril de 16h à 19h. Vernissage samedi 25 mars.

Exposition visible

Sam. 25 mars, 1er, 8 et 15 avril de 14h à 19h

Dim. 26 mars, 2 et 9 avril de 10h à 12h

Les autres jours sur Rendez-Vous

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Chacune de ces jeunes créatrices porte une singularité artistique naissante

qui a besoin de se confronter aux regards et aux ressentis du public.

DECOUVRONS-LES

 Opaline Basset, 21 ans, est étudiante en 4ème année option Art, en master Diplôme  National d’Expression Plastique à l'ESAD de Valenciennes. Depuis juin 2022 elle est titulaire du Diplôme National d’Art.

 

 

 

 Cassandra Bizoley est une étudiante de 23 ans en Master Patrimoine et musées à l’Université de Lille. Ayant une formation en arts plastiques et visuels, elle a eu l’occasion de s’essayer à différents médiums. Souvent, ses projets l'amènent à partir en quête d’elle-même et de son arbre généalogique. Effectivement, métisse d’origines camerounaise et sud-africaine, elle essaie d’accéder au pan de son histoire familiale maternelle qui lui est méconnu. On peut dire que sa démarche est d’une certaine manière autobiographique.

 

 

 

 Alicia Brouilliard. Photographe professionnelle et artiste plasticienne de 25 ans, Alicia Brouilliard pratique essentiellement le portrait. Elle travaille particulièrement l'ambiguïté des codes en photographie et des représentations en peinture classique. Confronter les matériaux, induire le toucher par exemple, sont autant de domaines de réflexion qu’elle aborde dans son travail.

 

 

 

 

 

 

 Charlotte Bruno étudie le « Design » depuis 2016. En 2018, elle quitte son Var natal pour étudier le design graphique à l’ESAAT de Roubaix où elle obtient le BTS design graphique option médias imprimés puis le DSAA design graphique (diplôme supérieur d'art appliqué). A l’issue de sa formation, elle produit un mémoire sur le thème du « Tuning ». Par ce choix elle s’ouvre à un nouvel horizon pour adopter l’état d’esprit hédoniste des passionnés du tuning où le plaisir de faire est essentiel. De là, découle son nom de designer graphique : DAST (Acronyme signifiant Designer as Tuner). Ce nom s’inscrit dans la lignée de deux textes fondateurs sur la place du designer graphique. Celui de Mickael Rock, Designer as author (1996) ainsi que celui d'Elen Lupton intitulé Designer as producer (1998).  

 

  Louise Delarue est en première année de master Patrimoine et musées à l’Université de Lille. Elle étudie particulièrement l’histoire de l’art sous le prisme des études de genre, c’est à dire ne pas s’arrêter à des analyses d’oeuvres classiques mais chercher les éléments relevant de notre société genrée et de ses inégalités. En parallèle de ses études universitaires elle développe une pratique autodidacte de la linogravure depuis deux ans et demi maintenant.

Le travail de linogravure de Louise Delarue puise son inspiration à diverses sources. L’art du 19ème siècle et de ses artistes femmes. Dans une optique d’art féministe et d’histoire féministe de l’art Louise Delarue a commencé une série de portraits de peintresses françaises du 19ème siècle. Son art s’inspire aussi de l’amour queer et de la communauté LGBTQ+. En tant que lesbienne et féministe, elle milite par son art pour une société plus inclusive et tolérante. Elle diffuse aussi quelques idées anarcha-féministes dans ses gravures.

  Alicia Laurent. Etudiante de 21 ans originaire de Normandie et nouvellement installée à Lille pour la poursuite de ses études en Histoire de l’art., Alicia Laurent s’éprend pour la photographie argentique en 2021 lors d’une année en Italie. Elle (re)découvre ce médium en le plaçant au cœur de sa création artistique, tout en entretenant un rapport très personnel avec celui-ci.

Véritable objet de mémoire, de temps, mais aussi d’inattendu et d’incertitude, elle expérimente avec les pellicules noir et blanc de l’argentique, lui donnant un caractère de compagnon de route. C’est précisément dans cette optique que naît sa série de photos nommée « Là où il y a de la vie », qui nous plonge dans l’itinérance d’une jeune femme à la découverte de Lille, une ville qui lui est inconnue, et qui trouve ses repères en décelant l’absence et le calme dans divers lieux plein de vie.

 

  MAMI. Après des études diplômantes en verrerie option décor architectural et décoration verrerie à l’Ecole supérieure de design et métiers d’art d’Auvergne, Mami est une étudiante de 25 ans qui poursuit ses études à l’Université de Lille en Master Art parcours exposition-production d’œuvre d’art contemporaine. Sa démarche artistique s’oriente vers le dessin de fleurs qui subissent des transformations, des mutations sous l’influence de son imaginaire dans des compositions étranges.

 

 

  Nara, 20 ans, étudie en 2ème année aux Beaux-Arts de Rennes. Sa pratique principale est la peinture, mais aussi le dessin et la photographie. Au travers de ses autoportraits et plus largement dans son activité de portraitiste, elle questionne le reflet de soi, l’alter ego. La question du sommeil et la place de l’onirisme dans son art et dans la vie en général sont aussi au centre de cette jeune artiste.

 

   Charlotte Thiry. Etudiante de 23 ans en master recherche en histoire de l’art à Lille, Charlotte Thiry pratique la photographie depuis 8 ans. Elle aime imaginer un univers et essayer de le reproduire grâce à la photo et la retouche numérique. Elle réalise principalement des autoportraits mais également des portraits de ses connaissances. Le sujet principal de son travail est la femme. Atmosphère douce, sublimation de la femme et son corps auquel elle associe des fleurs représentant féminité et délicatesse. Elle réalise de nombreux portraits dans l’eau, afin d’associer la fluidité de l’eau et les ondulations du corps de la femme. La plupart de ses photographies sont réalisées dans sa chambre devant un drap ou dans sa baignoire, c’est grâce à la retouche numérique qu’elle parvient à effectuer ce qu’elle avait imaginé. Ses photographies portent le nom de personnages mythologiques, telles que des déesses ou des nymphes en lien avec l’univers présenté.

 

 

 

 

 

Publié le 07/03/2023