2b3c4eb2e9bc469d734fa3e6e24467835c8dda2e
87d3f94ae6d1869ea1735aa3f8b7a36acf526ac5
Adeec25831ac96f35f65c1dce7b401365b1c9316
Fd25ff1338128437fc3c95fd7b73640dd1655742
6f1670fd461c453f25033507110f798dac6caaee
8e893b72e66eff0e0447af263a9a01a07dadfdd0
17a84782db2b6714a9d255ebce8ec76ad4c63dcd
22af3b8ed803b7ab03ec699beaff1c9047fb3b07
Fermer
concerts

White Lies

008b019f3d324dba1d093d29892ff60cd9669f69
Le rock embrumé de White Lies profite de quelques jolies trouées pour laisser entrevoir d’autres facettes de son identité artistique.

Que les fans se rassurent, White Lies demeure bien ce groupe anglais épris de new-wave et de synth-pop. Pas précisément revivalistes, ils se sont bâtis une solide discographique et une généalogie plausible avec Cure et Joy Division. Une ascendance certes encombrante mais sans toute plus précise que le fourre-tout post-punk. Avec As I Try Not to Fall Apart leur tout frais sixième album, White Lies ne fait plus la course au succès avec Franz Ferdinand ou Editors et accepte son identité sans pour autant se résigner. White Lies semble même glisser vers une certaine forme de romantisme pop. Celui-là même qui troubla le paysage musical avec Roxy Music. Le groupe y gagne donc en ambiguïté, ce qui octroie une certaine profondeur à des compositions plus chatoyantes. Équilibristes et aquarellistes.

 

Publié le 20/05/2022 Auteur : Bertrand Lanciaux

Dimanche 22 mai, 18h, 6-23€
Le Grand Mix
Place Notre Dame, Tourcoing
www.legrandmix.com

 

 

 

 


Mots clés : pop