2b3c4eb2e9bc469d734fa3e6e24467835c8dda2e
87d3f94ae6d1869ea1735aa3f8b7a36acf526ac5
Adeec25831ac96f35f65c1dce7b401365b1c9316
Fd25ff1338128437fc3c95fd7b73640dd1655742
6f1670fd461c453f25033507110f798dac6caaee
8e893b72e66eff0e0447af263a9a01a07dadfdd0
17a84782db2b6714a9d255ebce8ec76ad4c63dcd
22af3b8ed803b7ab03ec699beaff1c9047fb3b07
Fermer
cinéma

Situation amoureuse : c'est compliqué

A7ec11d644a445278076c3a6a3941532757859e1

Ben, la trentaine, file le parfait amour avec Juliette. Le mariage (viking) se prépare doucement et tout va pour le mieux entre les deux amoureux. Un soir, Sylvain, un copain de lycée un peu envahissant apprend à Ben que Vanessa, la fille que ce dernier a toujours rêvé d'approcher est de passage à Paris. Sans trop se forcer, Ben accepte de la revoir. Entre les deux se noue bientôt une complicité troublante, d'autant que la date du mariage avec Juliette approche à grands pas...

Arrivé au cinéma au fil de comédies marchant d'un pied dans le potache, d'un autre dans le bon enfant (Superstars), Manu Payet se décide à passer derrière la caméra avec pour bagage une comédie romantique assez peu originale dans son sujet. Si l'intrigue principale tient bien la promesse de ce manque d'originalité et que la réalisation manque clairement d'inventivité, il ne faudrait toutefois pas jeter entièrement cette énième amourette téléphonée. D'abord, parce qu'Anaïs Demoustier apporte une plus-value non négligeable au couple qu'elle forme avec Manu Payet. Ensuite, parce que Jean-François Cairey et Jean-Charles Clichet s'avèrent formidables dans des seconds rôles (respectivement l'ancien camarade de lycée un peu lourd mais finalement très attachant et le meilleur pote et ses conseils). Chacun donne une vraie profondeur à des personnages très souvent caricaturaux et ennuyeux. Ils donnent au parcours prévisible d'un Manu Payet à l'aise dans un rôle (forcément) sur mesure une couleur bienvenue. Pour le reste, à moins d'aimer les comédies romantiques et les farces de Philippe Duquesne, mieux vaut passer votre chemin.

Publié le 18/03/2014 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma