Un peu d’humour, beaucoup de barbe et un art de l’analogie consommé (« d’un seul coup d’œil, j’ai remarqué qu’la bouchère était en beauté. Et de ses gestes de vestale, elle s’occupait de son étale. En entrant je m’suis écrié qu’à la poitrine de porc fumée je préférais mille fois la sienne à l’arrogance de bohémienne ») accompagnent une contrebasse, une guitare et une batterie. Et quand ils s’amusent avec un banjo ou un accordéon, on pense aux Ogres de Barback ou aux Hurlements d’Léo. Une ambiance festive qui accueillera la Mouscronnoise Vina Lisa, qui s’amuse avec des reprises jazzy-groovy de –très- bonne facture.