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cinéma

Fast & furious 7

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Lorsqu'un mystérieux criminel s'en prend à son ami à Tokyo avant de faire exploser la demeure familiale, Dom Torreto et sa bande reprennent du service pour le traquer. Face à un adversaire aussi implacable qu'insaisissable, ils doivent coopérer avec les services secrets qui, en échange de quelques services, leur permettront 'assouvir leur vengeance.

Fast & Furious, c'est une affaire qui roule depuis 2001. Ce septième épisode de la pétaradante licence ne bouleverse pas la recette depuis quelques films du tuning, des néons et des rodéos urbains, la série a glissé vers l'action : cascades, gros bras et punchlines se succèdent au rythme des courses poursuites audacieuses et des aventures mécaniques de la bande de Vin Diesel. Ceux qui n'ont pas suivi peuvent prendre le film tel quel (c'est un blockbuster, pas un thriller tortueux), les autres recomposeront la mosaïques chronologique éclatée des sept films dans le sillage de bolides aussi vrombissants que les voix rocailleuses des interprètes masculins. Sensation de l'épisode, Jason Statham, échappé du Transporteur et consorts, vient, après Dwayne Johnson, renforcer à son tour la liste des « action heroes » absorbés par la saga (la méthode des Expendables fait recette). Même Kurt Russel y fait une apparition, en vieux routard de l'espionnage. Les voitures tombent du ciel, sautent des immeubles, descendent des pentes de montagne dans une frénésie de morceaux de bravoure un peu épuisante pour les yeux du spectateur dont le cerveau peu par contre se reposer. Côté scénario, rien de bien palpitant, on poursuit les méchants, ou on cherche à leur échapper. Sans oublier le final un peu mélo en forme d'adieu à paul Walker mort d'un accident de voiture alors que le film se tournait. James Wan emballe le tout dans un savoir faire hollywoodien sans beaucoup d'aspérités.

Publié le 02/04/2015 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma