Requiem de John Rutter par La Cantarella et A Claire Voix
La Cantarella, choeur arrageois, chef de choeur Thomas FLAHAUW et A Claire Voix, choeur de Sin le Noble, chef de choeur Alfred BIRONIEN.
accompagnés d’un orchestre (flûte, hautbois, harpe, timbales, glockenspiel, violoncelle)
à l'orgue Denis TCHOREK
interpréteront
le REQUIEM de John RUTTER Version pour choeur, soprano solo, orgue et orchestre
ARRAS Samedi 25 mai 2019 à 20h église Saint Géry rue des Cailloux
Direction Thomas FLAHAUW
Entrée : 8 € en prévente, 10 € billetterie sur place
Renseignements: lacantarellaarras.fr
Réservations: lacantarella.arras@gmail.com 06 33 15 95 74 – 06 85 41 51 79
Le compositeur : John Rutter est un compositeur anglo-saxon contemporain. Il a été Directeur de
la Musique du Clare College, puis a formé son propre choeur. La Cantarella a interprété plusieurs de ses œuvres dont le Magnificat.
Le Requiem
Après la mort de son père en 1983 John Rutter voulut écrire une œuvre à sa mémoire qui soit à la fois musicalement aboutie et accessible à chacun.
La découverte à la même époque d’un nouveau manuscrit du requiem de Gabriel Fauré avec des annotations, corrections et des réorchestrations en fonction des effectifs instrumentaux disponibles, lui montra le caractère vivant et réel de cette musique sublime
L’œuvre commence dans une atmosphère sombre, avec une pulsation immuable des timbales, qui peut suggérer le son d’un glas, En arrivant sur le mot « lumière » (et lux perpetua luceat eis) l’atmosphère change radicalement avec un effet d’éclairement et d’ouverture.
Comme Britten, Rutter mêle le rite grégorien en latin et le rite anglican en anglais, le texte anglais donnant un caractère plus intime à l’œuvre, plus proche de l’auditeur.Mais à la différence de Britten, Rutter voulait écrire une pièce qui ait un message d’espoir, un caractère consolant, un voyage des ténèbres vers lumière. Il voulait aussi un requiem de "petit format", jouable aussi bien à la maison, à l’église ou dans une salle de concert, avec une orchestration adaptable. Ce devait être enfin une œuvre qui s’inscrive en relation avec la liturgie, et non un requiem purement dramatique et théâtral comme Berlioz ou Verdi.
Publié le 14/05/2019