92b9ee35ee4374bdd5f03673249a3688c1a5afd3
F10aa4c672734a4f4805e373fe46ae2ec6d76f35
0720d2e911eea999800931681ea8ec170bfd8534
E981f425e1799a579794a3f5760d6d8177d69932
173e09cf518b5988e25324e5d0dcd5fe4fbf3b7d
2c05f0e77dd1a6919243c5cc2d91ab3b52aecb7b
343d7b284563e766c77c14aab8bba4cb0008a974
1e866f5c9fa2babed9241b0839a4a7b6457e6434
90c1c89569eea9baed8d19c8f6391fdfb94946ec
C6d662ca888f41bdc48ccb56e29b1d591c90257e
Fermer
danse

¡FANDANGO!

Réserver
¡FANDANGO! (2021)
À 35 ans, David Coria est le nouveau chorégraphe de la scène espagnole flamenca. Il a dansé les chorégraphies de Pilar López, Antonio Gades ou la célèbre Medea du Maestro Granero quand il était au Ballet national d’Espagne.

 Il ne cesse de multiplier les collaborations, de Rocío Molina à Rafaela Carrasco, avant d’entrer en 2014 au Ballet flamenco d’Andalousie. Avec cet héritage que peu de danseurs de sa génération ont reçu, il affirme aujourd’hui son propre univers. Plutôt théâtrale sans être pour autant narrative, sa danse balaie la scène comme si tout devait y recommencer à chaque instant. Pour cette création, il associe son esthétique sans cesse renouvelée au chant vigoureux et unique de David Lagos, héritier des grands “cantaores” espagnols. Parler de Fandango, c’est faire référence à un style musical et une danse traditionnelle espagnole de couple, d’origine andalouse. Les deux complices construisent une extravagante fantaisie du monde espagnol où ils laissent carte blanche aux origines et aux transformations. Telle est, sans aucun doute, leur vision du flamenco, un genre aux racines profondes, mais d’actualité et plus puissant que jamais.

Publié le 04/02/2021


Mots clés :