92b9ee35ee4374bdd5f03673249a3688c1a5afd3
F10aa4c672734a4f4805e373fe46ae2ec6d76f35
0720d2e911eea999800931681ea8ec170bfd8534
E981f425e1799a579794a3f5760d6d8177d69932
173e09cf518b5988e25324e5d0dcd5fe4fbf3b7d
2c05f0e77dd1a6919243c5cc2d91ab3b52aecb7b
343d7b284563e766c77c14aab8bba4cb0008a974
1e866f5c9fa2babed9241b0839a4a7b6457e6434
90c1c89569eea9baed8d19c8f6391fdfb94946ec
C6d662ca888f41bdc48ccb56e29b1d591c90257e
Fermer
concerts

Max Romeo : les adieux d’un monument roots

Ed81b9c77d25fc1c71f6dc2574f05c81525b38d6
A 78 ans et après plus de 50 ans de carrière, Max Romeo vient se produire une dernière fois sur les scènes de France pour une tournée d’adieux.

2 mois de tournée en Europe viennent clore un immense chapitre de l’histoire de la musique jamaïcaine. Depuis ses premiers succès dans les années 70 et l’album War ina Babylon, Max Romeo s’est constitué l’un des répertoires les plus impressionnants de la musique reggae. Avec des titres tels que One Step Forward ou Chase the Devil, l’artiste originaire de Saint-James s’impose comme l’une des références du milieu, ses mélodies entêtantes aux rythmes saccadés cheminant de sa Jamaïque natale jusqu’au radio londoniennes, évoquant la laborieuse vie des ghettos et les rêves de paix de ses concitoyens. En 2021, l’album World of Ghouls vient parachever l’oeuvre prolifique que Max Romeo lègue au monde de la musique, ne se détachant jamais de son message d’amour et de ses racines contestataires. Ses quelques dates en France occasion d’assister au chant du cygne de cette figure qui marqua à jamais l’histoire du reggae de son empreinte.

Publié le 30/03/2023 Auteur : nicolas lecomte

 

Le 27 avril à 20h30
De 17 à 23€
Atabal, Biarritz
www.atabal-biarritz.fr

Le 4 mai à 19h30
27,80€
Le Rockstore, Montpellier
www.rockstore.fr

Le 10 mai à 20h30
De 22 à 25€
La Vapeur, Dijon
www.lavapeur.com


Mots clés :