92b9ee35ee4374bdd5f03673249a3688c1a5afd3
F10aa4c672734a4f4805e373fe46ae2ec6d76f35
0720d2e911eea999800931681ea8ec170bfd8534
E981f425e1799a579794a3f5760d6d8177d69932
173e09cf518b5988e25324e5d0dcd5fe4fbf3b7d
2c05f0e77dd1a6919243c5cc2d91ab3b52aecb7b
343d7b284563e766c77c14aab8bba4cb0008a974
1e866f5c9fa2babed9241b0839a4a7b6457e6434
90c1c89569eea9baed8d19c8f6391fdfb94946ec
C6d662ca888f41bdc48ccb56e29b1d591c90257e
Fermer
concerts

Cedric Burnside

548b8e1b36d823e870fd9625bc5ff79154bd630d
Descendant de la dynastie Burnside, Cedric Burnside est tout sauf un rentier du blues. Sa mission sur terre est de perpétuer le Hill country blues. Un style bien vivace aux racines rugueuses.

Le nom de Burnside et ce style de blues sont descendus des collines du nord du Mississipi via le grand père R.L. Burnside et une cohorte de groupes de rock. Tous fascinés par le pouvoir hypnotique de cette musique enclavée au fort parfum d’authenticité et à haute teneur en transe. Jon Spencer, Black Keys et évidemment White Stripes se sont fait le cuir en se frottant à ses aspérités. Cedric Burnside est tombé dans le chaudron, dans la batterie, la guitare et puis aussi le chant tant qu’à faire. L’homme s’est fait un prénom dans le milieu du blues en alignant les Blues Music Awards. En live, Burnside convoque plus que les esprits. En bon voodoo child, Burnside nous rappelle ce que rap, funk et rock doivent au Hill country. La colline a des yeux. Et de la mémoire.

Publié le 08/11/2019 Auteur : Bertrand Lanciaux

Jeudi 14 novembre, 20h, 12-21€
Maison Folie Beaulieu
Place Beaulieu, Lomme-Délivrance
www.jazzenord.com

 


Mots clés : blues